Hygrométrie : quel taux d’humidité idéal dans une maison ?

L'hygrométrie est un concept clé dans de nombreux domaines, allant de l'agriculture à l'industrie en passant par le confort des personnes. Elle désigne la mesure et l'étude de l'humidité de l'air, c'est-à-dire de la quantité de vapeur d'eau contenue dans l'air. La teneur en humidité de l'air a un impact sur de nombreux aspects de notre vie quotidienne, allant de la qualité de l'air que nous respirons à la conservation des biens et des aliments.

Pour en savoir plus à ce sujet, nous vous invitons à consulter diagnostic humidité. 😉 

Ainsi, il est important de comprendre comment mesurer l'hygrométrie et comment maintenir une humidité adéquate dans les différents environnements. Dans cet article, nous allons explorer en détail le sujet et ses applications dans le domaine immobilier.

Quels sont les signes d’un taux d'une hygrométrie trop élevée dans une maison ?

Recherche Google : hygrométrie

L'hygrométrie est la science qui mesure et étudie l'humidité de l'air. Elle se mesure en pourcentage et peut être exprimée sous différentes formes, telles que le taux d'humidité relative (THR) ou le point de rosée.

• Le taux d'humidité relative (THR) mesure la quantité de vapeur d'eau présente dans l'air par rapport à la quantité maximale qu'il peut contenir à une température donnée.
• Le point de rosée, quant à lui, est la température à laquelle l'air peut contenir le maximum de vapeur d'eau et où la condensation se produit sous forme de gouttelettes.

Elle est importante pour le bien-être des personnes et la bonne conservation des biens, et peut être utilisée dans divers domaines tels que l'agriculture, la météorologie et l'industrie. Des instruments tels que les hygromètres peuvent être utilisés pour mesurer le taux d'humidité de l'air. Et ainsi maintenir une humidité adéquate dans les différents environnements.

Le taux d’hygrométrie a-t-elle un rapport avec la météo ?

En d'autres termes, c'est le degré d'humidité qui correspond à la quantité de vapeur d'eau dans l'air qui nous entoure.

Un météorologue mesure l'humidité relative, c'est-à-dire le rapport entre la quantité de vapeur d'eau présente dans l'air et la quantité maximale de vapeur d'eau possible.

Il y a une saturation à 100 % de l'air en eau vaporisée, ce qui entraîne la formation de brouillard, de pluie, de grillades, etc.

Voici différents éléments qui peuvent expliquer l'hygrométrie de votre logement

D'abord la condensation qui peut être observée dans une salle de bain. Elle se produit lorsque l'eau passe de l'état gazeux à l'état liquide. Lorsque l'air est saturé de vapeur d'eau, celle-ci devient liquide au contact de surfaces froides comme un miroir. En général, elle apparaît dans les maisons mal isolées ou mal ventilées.

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Dans une maison, la condensation peut provenir de plusieurs sources :

1. Douches ou bains chauds
2. Cuisson en cours
3. Votre linge est en train d'être cousu
4. Le corps humain lorsque ses cheveux sèchent, ou tout simplement la respiration.
5. Un flux constant de condensation sur vos fenêtres sans source visible est le signe d'un taux d'humidité élevé. De même, de l'eau stagnante sur les murs ou une pile de linge qui ne veut pas sécher sont des indicateurs d'une humidité excessive.
6. Réparations capillaires

Il est possible que votre chambre à coucher soit extrêmement humide

Ce phénomène est dû à la réfection capillaire, qui est causée par la présence d'eau sous votre mur. La raison peut être due à la fois à la porosité de vos matériaux de construction ou à la présence d'eau en dessous.

Afin de déterminer si vous êtes concerné par ce phénomène, observez vos murs :

Il est possible d'effectuer des tâches blanches avec des appareils, grâce aux hygroscopes.

Le sol présente de légères zones d'humidité. Si vous les touchez, elles sont humides.

Il se peut également que de l'humidité soit présente.

En cas de rénovation du plafond, il est conseillé de se rapprocher d'un professionnel

Des murs et plafonds abandonnés.

Une peinture qui s'écaille, se gonfle ou se fissure... Ce sont les signes habituels d'un taux d'humidité élevé. L'humidité peut également s'accumuler sous la surface de l'œuvre d'art également.

Le travail du décorateur est observable au plafond. Sachez que les meubles placés près des murs peuvent contribuer à l'apparition de ces désagréments en empêchant la circulation de l'air.

Quels sont les effets de l'humidité sur la santé ?

L'humidité de l'air a un impact sur la santé de différentes manières.

Voici quelques exemples des effets de l'humidité sur la santé :

L'air trop sec peut causer des soucis de santé tels que la sécheresse de la peau

Des muqueuses et des yeux, ainsi que des maux de tête et de la fatigue. Il peut également favoriser la transmission de certaines maladies respiratoires telles que le rhume et la grippe, car les virus se propagent plus facilement dans l'air sec.

L'air trop humide : la moisissure et les allergies

Des maux de tête et de la fatigue sont aussi possibles. La moisissure peut se développer dans les environnements humides et peut causer des soucis de santé tels que des allergies. Des irritations de la peau et des insuffisances respiratoires.

Il est important de maintenir une humidité adéquate dans les différents environnements pour assurer le bien-être et la santé des personnes. Selon l'ADEME, il est recommandé de maintenir un taux d'humidité relative compris entre 40 et 60 % dans les intérieurs. Cependant, cela peut varier en fonction de la saison et de la région.

Il est recommandé de mesurer régulièrement l'humidité de l'air avec un hygromètre et d'utiliser des humidificateurs ou des déshumidificateurs si nécessaire pour maintenir une hygrométrie adéquate.

"En tant qu'agent immobilier, je conseille mes clients sur la manière d'optimiser le confort de leur logement. Dans l'objectif de réduire l'humidité qui peut y être présente, je recommande les points suivants :

Assurez-vous que votre maison est bien ventilée pour permettre à l'air humide de s'échapper. Ouvrez les fenêtres lorsque vous cuisinez ou prenez une douche, et utilisez des ventilateurs pour faire circuler l'air.

Les absorbeurs d'humidité, tels que les sachets de gel de silice ou les granules de sel, peuvent aider à réduire l'humidité dans votre logement. Placez-les dans des endroits où l'humidité est susceptible de s'accumuler, comme les placards, les armoires et les sous-sols.

Lorsque vous faites sécher du linge à l'intérieur, l'eau s'évapore dans l'air, augmentant l'humidité de votre logement. Si possible, suspendez votre linge à l'extérieur pour le faire sécher.

Enfin, les fuites d'eau peuvent entraîner une accumulation d'humidité dans votre logement. Assurez-vous de réparer les fuites d'eau dès qu'elles apparaissent pour éviter les déséquilibres d'humidité à long terme."

Tom, agent immobilier

Comment utiliser un hygromètre ?

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Un hygromètre est un instrument qui mesure l'humidité de l'air. Voici comment l'utiliser :

1. Vous pouvez en trouver dans un magasin de bricolage ou en ligne, ou louer un hygromètre auprès de votre fournisseur d'énergie ou de votre mairie.
2. Placez le dans la pièce où vous souhaitez mesurer l'humidité de l'air. Assurez-vous de le placer dans un endroit où il ne sera pas exposé aux courants d'air ou à la lumière directe du soleil, car cela peut affecter les résultats de la mesure.
3. Attendez au moins 30 minutes avant de lire le taux d'humidité. Cela permet à l'hygromètre de s'ajuster à l'environnement et de fournir une mesure précise.
4. Consultez l'échelle de l'hygromètre pour connaître le taux d'humidité de la pièce. La plupart des appareils indiquent le taux d'humidité relative (THR) en pourcentage.

Il est important de nettoyer régulièrement l'hygromètre et de le recalibrer si nécessaire pour assurer la précision de ses mesures.

Comment diminuer le taux d’hygrométrie d’une maison ?

Un taux d'humidité maitrisé

Il est recommandé de maintenir un taux d'humidité relative compris entre 40 et 60 % dans les intérieurs. Utilisez cet appareil pour mesurer l'humidité de l'air dans votre maison et ajustez l'utilisation de ces conseils en conséquence.

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Aérer et ventiler une pièce

Voici quelques conseils pour aérer et ventiler une pièce sans VMC (Ventilation Mécanique Contrôlée) :

1. Laissez entrer de l'air frais en ouvrant les fenêtres de la pièce. Faites attention à ne pas laisser entrer trop d'air froid en hiver, car cela peut entraîner une baisse trop importante de la température intérieure.
2. Utilisez des ventilateurs pour créer un courant d'air qui peut aider à évacuer l'air vicié de la pièce. Les ventilateurs de plafond ou les ventilateurs de table peuvent être particulièrement utiles pour cela.
3. Un humidificateur est un appareil qui ajoute de l'humidité à l'air, tandis qu'un déshumidificateur en retire. Utilisez ces appareils pour ajuster l'humidité de l'air dans la pièce.

En fonction des conclusions du bilan établi, il est possible de mettre en œuvre une ou plusieurs des solutions. Elles sont généralement efficaces pour assainir l'environnement atmosphérique :

1. Examiner la configuration de la ventilation naturelle déjà existante. En procédant à la désobstruction des ouvertures d'aération existantes et en augmentant leur dimension et leur nombre.
2. Installer un système de ventilation mécanique contrôlée (VMC). Ce dispositif permet l'évacuation ciblée de l'air vicié provenant des zones humides de la maison. Cela facilite ainsi le processus de purification de l'air intérieur.
3. Implanter une membrane étanche au niveau des parties inférieures des murs en contact avec le sol et la terre. Afin de prévenir l'infiltration d'humidité dans les structures.
4. Procéder à un assèchement des murs en mettant en œuvre un traitement hydrofuge. Ainsi qu'en réalisant des travaux de réfection des enduits, de manière à renforcer la résistance à l'humidité.
5. Mettre en place un système de drainage périphérique autour de la maison Qui contribue ainsi à une meilleure gestion des eaux de ruissellement. Et limitant les risques d'humidité excessive dans les fondations.

Est-ce qu'un taux d'hygrométrie impacte la consommation énergétique d'une maison ?

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Oui, le taux d'hygrométrie peut avoir un impact sur la consommation énergétique d'une maison. Voici comment :

• Lorsque le taux d'humidité de l'air est trop élevé, il peut être plus difficile de maintenir une température confortable dans la maison, car l'air humide se refroidit plus lentement que l'air sec. Cela peut entraîner une augmentation de la consommation d'énergie pour chauffer la maison en hiver.
• Lorsque le taux d'humidité de l'air est trop bas, il peut être plus difficile de maintenir une température confortable dans la maison, car l'air sec se réchauffe plus rapidement que l'air humide. Cela peut entraîner une augmentation de la consommation d'énergie pour refroidir la maison en été.
• La moisissure et les champignons peuvent se développer dans les environnements humides et peuvent causer des soucis de santé et de bien-être. Ainsi qu'une augmentation de la consommation d'énergie pour climatiser la maison.

Quelles sont les aides pour améliorer et rénover mon logement ?

Pour lutter contre l'humidité, vous avez besoin d'une meilleure isolation et ventilation de votre espace de vie. À cette fin, vous pouvez utiliser des aides à la rénovation énergétique. Comment fonctionnent-elles ?

Prime Energy Monexpert

Un nouveau programme appelé Prime Energy Monexpert a été mis en place dans le cadre des Certificats d'économie d'énergie (CEE). Ce programme récompense les ménages engagés dans des travaux d'amélioration de l'efficacité énergétique.

MaPrimeRénov'

Dans le cadre de MaPrimeRénov', l'Agence Nationale de l'Habitat (ANAH) a accordé l'autorisation de faire subir une partie des travaux de rénovation à l'un des principaux logements construits après 15 ans. Cela dépend de vos revenus et de votre lieu de résidence. Vous voulez combattre l'humidité chez vous ? Découvrez les produits de MaPrimeRénov associés à Prime Energy Monexpert.

L'écoprêt à taux zéro

L'ECO-PTZ est une aide proposée par le gouvernement pour aider les ménages à financer des travaux de rénovation énergétique chez eux. Les intérêts sont nuls. Le montant maximum est de 50 000 €. Pour en faire la demande, il suffit aux ménages de s'adresser à une banque ayant signé une convention avec le gouvernement.

Qu'est-ce que le confort thermique ? 😉

Confort de vie

Le confort hygrothermique, un concept essentiel en sciences du bâtiment et de l'environnement, se réfère à la perception subjective de chaque individu dans un espace donné. Elle est déterminée par les conditions d'humidité (« hygro ») et de température (« thermie ») environnantes. Cette perception est influencée par une multitude de facteurs complexes tels que les suivants :

• L'efficacité thermique des vêtements portés
• La densité des activités entreprises par les occupants du lieu
• Ainsi que les propriétés radiantes des matériaux environnants

Il s'avère extrêmement difficile d'établir une norme universelle pour la température idéale dans une pièce qui puisse satisfaire parfaitement tous les individus. Ainsi que toutes les situations, en raison de la subjectivité inhérente aux sensations de bien-être.

Evaluation du confort

Pour évaluer de manière précise et objective le confort hygrothermique d'un espace, des enregistreurs électroniques sophistiqués et des analyseurs d'ambiance climatiques intérieurs sont désormais disponibles sur le marché. Ces appareils permettent une mesure simultanée de :

• La température de l'air intérieur
• De celle des parois
• De l'humidité relative et de la vitesse de l'air

De manière générale, on considère qu'un taux d'humidité relative compris entre 40 % et 60 %, conjugué à une température ambiante située entre 18°C et 22°C, est propice au confort hygrothermique optimal (selon l'ADEME).

La surveillance régulière de ces paramètres est d'une importance capitale pour prévenir toute dégradation des revêtements intérieurs. Ainsi que l'apparition de moisissures qui pourraient porter atteinte à la santé des occupants de l'habitat. Cela en engendrant des problèmes allergiques et respiratoires, par exemple.

En cas de taux d'humidité ou de température insatisfaisants, des mesures correctives sont à envisager. Telles que l'installation de matériaux d'isolation plus performants ou le recours à des systèmes de ventilation adéquats. Qu'ils soient d'origine naturelle ou résultant d'une ventilation mécanique contrôlée (VMC).

Pour en savoir plus à ce sujet, nous vous invitons à consulter l'article suivant : logement decent😉 

Un air trop humide

Un taux d'humidité relativement élevé dans l'air (compris entre 60 % et 100 %) peut avoir des conséquences indésirables sur la qualité de l'environnement intérieur. Ce qui donne lieu à des problèmes notables tels que la prolifération de moisissures.

Il s'agit d'un souci omniprésent en France puisque, selon une étude de Netatmo, 49 % des logements français en 2020 présentaient un taux d'humidité trop élevé.

Si la présence de moisissures est maîtrisée en quantités minimes et régulièrement éliminée, elle ne représente pas de menace majeure. En revanche, si elle s'installe de manière significative dans les lieux de vie (sous forme de taches ou de spores). Alors elle peut engendrer divers symptômes préjudiciables pour les occupants :

• Sur le plan respiratoire, des affections telles que la toux, les rhinites, les bronchites, l'asthme, les difficultés respiratoires et les douleurs thoraciques peuvent se manifester.
• Par ailleurs, les effets non respiratoires incluent l'irritation oculaire, causant un inconfort supplémentaire.
• De plus, des réactions allergiques cutanées peuvent se manifester, entraînant des irritations de la peau.

Enfin, des effets toxiques généraux, tels que :

1. La fièvre ;
2. Les frissons ;
3. Les maux de tête ;
4. Les nausées, les vomissements, les diarrhées ;
5. Une diminution de l'efficacité du système immunitaire, une fatigue persistante ;
6. Ainsi qu'une perte de cheveux, peuvent résulter de l'exposition à des moisissures à des niveaux significatifs.

Un air pas assez humide

Un faible taux d'humidité relative dans l'air (compris entre 0 % et 40 %) peut engendrer des conséquences préjudiciables tant pour l'environnement intérieur que pour la santé des occupants. Qui sont comparables à celles observées en cas d'air excessivement humide. Cette problématique mérite une attention soutenue et un examen approfondi, étant donné les impacts significatifs qu'elle peut entraîner.

Les conséquences d'un air trop sec peuvent se manifester de manière variée, notamment par des affections du système respiratoire, telles que

• Des maux de gorge ;
• Des rhumes fréquents ;
• Et des quintes de toux.

De plus, les muqueuses peuvent subir un assèchement, affectant particulièrement les yeux et la bouche. Le dessèchement cutané, caractérisé par des problèmes dermatologiques tels que l'eczéma et la sensation de tiraillement cutané, constitue également une préoccupation notable.

Sur le plan pulmonaire et respiratoire, des tourments plus sérieux peuvent survenir. Qui nécessitent une vigilance accrue concernant la santé des habitants.

Effets néfastes

Les effets néfastes de l'air sec ne se limitent pas aux aspects sanitaires, mais s'étendent également aux aspects matériels et environnementaux. Par exemple, une humidité insuffisante peut entraîner des soifs nocturnes et une déshydratation, un phénomène qui, s'il n'est pas pris en compte, peut avoir des répercussions dommageables sur le bien-être général des individus.

Les matériaux et objets de l'environnement intérieur peuvent également être affectés par l'air sec. Cela avec des conséquences telles que le désaccordement d'instruments de musique, le dessèchement de parquets, la fissuration de meubles. Ainsi que des dégradations de tableaux d'art.

En outre, l'air sec favorise l'augmentation de la quantité de poussière présente dans le logement. Ce qui peut être à l'origine de problèmes d'hygiène et de santé supplémentaires.

Favorisée par la saison hivernale

Il convient de noter que l'air sec est une condition fréquente pendant la saison hivernale, en raison de deux principales causes.

1. Premièrement, l'utilisation intensive du chauffage dans le logement entraîne un assèchement de l'air intérieur.
2. Deuxièmement, à l'extérieur, l'air froid a une capacité de rétention d'eau très limitée, ce qui le rend intrinsèquement plus sec.

Cas d'humidité dans les sous-sols

Selon la nature de l'habitation que vous occupez, il est plausible que les parties inférieures, telles que le sous-sol ou la cave, aient été édifiées sans l'inclusion d'un espace vide sanitaire. Cette situation est fréquente dans les demeures anciennes.

Dans de tels cas, l'absence de ce vide sanitaire peut engendrer des dégradations significatives aux murs. Qui sont causées par la remontée d'humidité, qui à terme, altère tant les enduits extérieurs que les revêtements intérieurs.

Les symptômes révélateurs

• Émergence d'auréoles blanchâtres sur les murs (salpêtre), témoignant de la présence d'humidité montante et de la concentration de sels minéraux dissous dans l'eau.
• Apparition de la mérule et de moisissures, particulièrement sur les surfaces en bois ou sur les effets entreposés dans cet environnement (tels que des cartons, etc.). Ce qui signifie une forte propension à la prolifération fongique dans un milieu humide.
• Présence de petites flaques stagnantes ou d'écoulements, attestant d'un excès d'humidité dans les parties basses du bâtiment.
• Émanation d'odeurs désagréables, conséquence directe de l'humidité et de la croissance microbienne associées.
• Sensation de parois humides au toucher, révélant la présence d'humidité à la surface des murs.